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Jour du drapeau Saint-Colomban
Jean Dumais (maire de Saint-Colomban), Roland Leduc (SNQL), Claude Panneton (DG Saint-Colomban) et Nadine Soumis (DG SNQL)
Les maires et mairesses des villes de Saint-Colomban, Sainte-Sophie, Prévost, Saint-Jérôme et de la municipalité de Saint-Adolphe-d’Howard ont répondu à l’appel lancé par la Société nationale des Québécoises et Québécois, région des Laurentides (SNQL) afin de commémorer le 66e anniversaire du drapeau du Québec. Rappelons que c’est le 21 janvier 1948 que le fleurdelisé a été hissé pour la première fois au sommet de la tour centrale de l’Assemblée nationale.

Jour du drapeau Sainte-Sophie
Louise Gallant (mairesse de Sainte-Sophie) et Frédéric Broué (DG adjoint et membre du CA de la SNQL)
Sous l’invitation du ministre de la Justice, monsieur Bertrand St-Arnaud et du ministre des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire et ministre des Transports, monsieur Sylvain Gaudreault, les villes et municipalités du Québec ont été sollicitées afin d’organiser une cérémonie symbolique dans le cadre du Jour du Drapeau. De plus, les commissions scolaires et les écoles ont également été invitées à proposer, en cette journée de fête, des activités pédagogiques aux élèves du primaire et du secondaire.Symbole de la patrie, le drapeau exprime la fidélité, l’engagement et la solidarité d’un peuple. Il représente l’un des plus puissants moyens de communication d’une nation. Premier drapeau officiel adopté au Canada, le fleurdelisé est un symbole puissant qui incarne la fierté d’appartenir à une collectivité libre et démocratique.
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À se procurer!
L’anglicisation du Québec se poursuit. Devenue évidente sur le terrain, cette tendance ronge maintenant le coeur même de notre politique linguistique. Charles Castonguay le démontre de façon percutante dans ces chroniques qu’il a signées dans le mensuel l’aut’journal.
Après des mois de discussion sur une charte des valeurs québécoises sans dire un mot du français, langue commune, voilà que le projet de loi qui en découle nous propose d’inscrire un principe à rabais, la primauté du français, comme «valeur fondamentale de la nation québécoise». C’est ce genre de trahison en coulisse que Charles Castonguay dénonce ici sans complaisance.Il nous rappelle comment, au sortir de la Révolution tranquille, le Québec a choisi de faire du français notre langue commune, devant servir aux Québécois de toutes origines pour communiquer entre eux sur la place publique. Idéal constamment miné depuis par le concept de prédominance ou primauté du français, que cherche à imposer le Canada et qui ramène tout droit à un Québec bilingue.Qu’il s’agisse de notre politique linguistique qui vacille, de l’effet anglicisant du libre choix de la langue d’enseignement au cégep ou de la juste appréciation des données de recensement, ces chroniques traitent d’idées et de chiffres avec un élan et un souci de clarté typiques de cet analyste chevronné de la dynamique des langues.
Source : www.quebecfrancais.org
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Invitation spéciale pour le mois de la Francophonie 2014
À travers la planète, les francophones célèbrent leur langue française au cours du mois de mars. Au Québec, c’est la francofête, sous l’égide de l’Office québécois de la langue française (OQLF), qui aura lieu du 10 au 23 mars.Le Mouvement Québec français des Laurentides (MQFL) vous invite à composer un court texte (plus ou moins 1000 mots) exprimant le thème : « pour la volonté et le plaisir de vivre en français » incluant les 10 mots suggérés par l’OQLF : ambiancer, à tire-larigot, charivari, enlivrer(s’), faribole, hurluberlu, ouf, timbré, tohu-bohu, zigzag. N’oubliez pas, la créativité littéraire n’a pas de limite.Lors de la remise du Prix d’excellence en français Gaston-Miron au déjeuner de la francophonie, le 16 mars, le MQFL s’engage à lire le meilleur texte retenu et à remettre à l’auteur un certificat cadeau chez un libraire de la région.Les textes doivent parvenir par courriel avant le 1ier mars : mqfl@videotron.ca
La langue française, je la valorise.
Réjean Arsenault, président MQFL
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Souveraineté
Citation tirée du documentaire « Les grands moyens sur la richesse au Québec », diffusé à Télé-Québec, où Pierre Karl Péladeau compare, en réponse à une question de l’animateur Bernard Derome, le fait d’être indépendant de fortune à l’indépendance d’un pays.:
«L’indépendance de fortune, ça fait quoi?», demande Bernard Derome. «C’est comme celle d’un pays, répond M. Péladeau. C’est la liberté, c’est cette capacité de pouvoir maîtriser sa propre destinée. Lorsque vous êtes assujetti à quelqu’un d’autre, c’est lui qui va prendre des décisions pour vous. On le constate. C’est même assez simple d’arriver à cette conclusion-là.» «L’argent, donc, c’est la liberté?», demande M. Derome. «Je pense que oui. C’est la maîtrise de sa destinée», dit M. Péladeau.
Pour visionner le tout : http://lesgrandsmoyens.telequebec.tv/
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À lire: le blogue de Myriam D’Arcy
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